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En juin 1963, il participe à la création de l'Union pour la défense de la révolution socialiste, éphémère parti clandestin de Krim Belkacem. Au procès où il comparait libre, le 12 mars 2020, le procureur demande sa condamnation à 1 an de prison ferme[26]. Makhlouf Mehenni, « Lakhdar Bouregâa, l’anathème qui ne passe pas », « ALERTE – Lakhdar Bouregaa libéré », sur, Aylan Afir, « Hirak en Algérie : Un an de prison ferme requis contre Lakhdar Bouregâa », observalgerie.com, 12 mars 2020, « Lakhder Bouregaa inhumé ce jeudi au cimetière de Sidi Yahia », sur, « Algérie : Le Moudjahid Lakhdar Bouregaâ est décédé », sur, « Alger : Enterrement du Moudjahid Lakhdar Bouregaâ », sur, Conseil national de la Révolution algérienne, Assemblée nationale constituante algérienne, https://www.cairn.info/revue-guerres-mondiales-et-conflits-contemporains-2001-1-page-163.htm#, Youcef Khatib sort de son silence et retrace le parcours de Bouregaa, Hocine Aït Ahmed (3): de la création du FFS à la conférence de Londres, Algérie: le camp Bouteflika perd certains de ses soutiens, Les étudiants réagissent à la dernière campagne d’arrestations : «Libérez Lakhdar Bouregaâ !». L’histoire du Moudjahid Lakhdar Bouregaa. Ce vendredi matin, un rassemblement en hommage au Moudjahid Lakhdar Bouregaa, décédé mercredi soir à Alger, organisé en plein centre-ville d’Annaba a été réprimé par les services de sécurité. Membre du Front de libération nationale (Algérie), Personnalité du Front des forces socialistes, Mort de la maladie à coronavirus 2019 en Algérie. Il a également été élu membre de l'Assemblée nationale constituante algérienne en septembre 1962. Il suit l’actualité au jour le jour. Le 28 octobre, sa détention est renouvelée pour quatre mois[22]. Philippines * France * Pride Worldwide * Egypt * Sudan * West Papua * Guatemala * Algeria Il fait partie des militants dont la libération est posée par le hirak comme préalable pour des discussions avec le pouvoir[17],[18]. Aucun lieu à afficher. Lakhdar Bouregaa passe sept ans en prison[9] : il est libéré en 1975[10]. Mais il ne pouvait en être ainsi car c’est l’un des derniers baroudeurs de la guerre de Libération encore en vie qui vient d’être mis à l’ombre. » « Gaid Salah accuse les jeunes de la … Suite à des déclarations au sujet du général Ahmed Gaïd Salah, nouvel homme fort du régime, qu'il accuse notamment d'avoir déjà choisi le futur président de la République[13], ainsi qu'au sujet de l'armée des frontières, il est arrêté le 30 juin après une plainte du ministère de la Défense[14] et poursuivi pour « outrage à corps constitué et atteinte au moral de l’armée »[15]. Topics Lakhdhar bouragaa, Les hommes de mokorno, Algérie, révolution Algérienne, 1954-1962 Collection opensource Language French …SI LAKHDAR BOUREGAA , né le 15 Mars 1933 à El Omaria dans la wilaya de Médéa.Commandant de l'ALN. Makhlouf Mehenni, « Lakhdar Bouregâa, l’anathème qui ne passe pas », « ALERTE – Lakhdar Bouregaa libéré », sur, Aylan Afir, « Hirak en Algérie : Un an de prison ferme requis contre Lakhdar Bouregâa », observalgerie.com, 12 mars 2020, « Lakhder Bouregaa inhumé ce jeudi au cimetière de Sidi Yahia », sur, « Algérie : Le Moudjahid Lakhdar Bouregaâ est décédé », sur, « Alger : Enterrement du Moudjahid Lakhdar Bouregaâ », sur, Conseil national de la Révolution algérienne, Assemblée nationale constituante algérienne, https://www.cairn.info/revue-guerres-mondiales-et-conflits-contemporains-2001-1-page-163.htm#, Youcef Khatib sort de son silence et retrace le parcours de Bouregaa, Hocine Aït Ahmed (3): de la création du FFS à la conférence de Londres, Algérie: le camp Bouteflika perd certains de ses soutiens, Les étudiants réagissent à la dernière campagne d’arrestations : «Libérez Lakhdar Bouregaâ !». « Lakhdar Bouregaa maintenu en détention ». Il suit l’actualité au jour le jour. Il est enterré le lendemain au cimetière de Sidi Yahia à Alger[30]. Il avait 87 ans. Il fait partie des fondateurs du Front des forces socialistes en 1963. Le 26 juin, il participe à la réunion de signature du « pacte pour l'alternative démocratique » au siège du RCD[12]. Il est défendu par Mostefa Bouchachi et Abdelghani Badi. À 86 ans et à quelques […] L’information aurait pu passer inaperçue, noyée dans la multitude d’interpellations qui se succèdent depuis plusieurs semaines. Il rejette ensuite toute démarche visant à le libérer, tant que les manifestants ne l'auront pas été[20]. Il rejoint le FLN puis combat au sein de l’Armée de Libération Nationale en 1956. C’est sa véritable nature. Durant la crise de l'été 1962, le GPRA et les militants de l'intérieur sont vaincus par l'armée des frontières et le clan d'Oujda, menés par Houari Boumédiène, qui s'est allié avec Ahmed Ben Bella. Il est l'adjoint de Youcef Khatib, chef de la wilaya IV, jusqu'à la fin de la guerre, qu'il termine avec le grade de commandant[4]. Bekhti Ould Abdallah, « Je connaissais l’aptitude à la trahison du commandant Azzedine », Kamel Lakhdar-Chaouche, « Lakhdar Bouregaâ: Le fidèle compagnon de lutte de Ait Ahmed », Lexpressiondz.com, 2 janvier 2019, « L'histoire du Moudjahid Lakhdar Bouregaa - Algérie360.com », sur, « « Libérez Bouregaâ », tonnent les manifestants à Alger », dzvidéo, 23 août 2019. He was Minister of Foreign Affairs of Algeria from 1991 to 1993.. Il est défendu par Mostefa Bouchachi et Abdelghani Badi. En juin 1963, il participe à la création de l'Union pour la défense de la révolution socialiste, éphémère parti clandestin de Krim Belkacem. « Lakhdar Bouregaa maintenu en détention ». Il est libéré le 2 janvier 2020[24], en même temps que de nombreux autres militants du hirak[25]. Les chefs des wilayas, dont Lakhdar Bouregaa, cherchent à reprendre l'avantage[5]. Plusieurs militants à l’origine de cette action pacifique ont été arrêtés par les policiers, déplorent le comité national pour la libération des détenus d’opinion, un collectif […] Il fait son service militaire à Mostaganem, puis à Briançon en France métropolitaine chez les chasseurs alpins[1], avant d'être envoyé à Safi au Maroc d'où il s'évade en mars 1956 avec un groupe d'appelés pour rejoindre le FLN[2]. En 2019, durant le hirak, il fait partie des membres qui soutiennent la volte-face de l'Organisation nationale des moudjahidine (ONM) contre Abdelaziz Bouteflika[11], ce qui contribue à précipiter la démission du président. Le 7 octobre, il envisage d'entamer une grève de la faim, mais il en est dissuadé au vu de son âge et de son état de santé, par ses avocats, son entourage et des citoyens[19]. Libya 24 - ليبيا 24. Il est enterré le lendemain au cimetière de Sidi Yahia à Alger[30]. Il est libéré le 2 janvier 2020[24], en même temps que de nombreux autres militants du hirak[25]. Il s'oppose au clan d'Oujda depuis la crise de l'été 1962 : il est l'un des membres fondateurs du Front des forces socialistes (FFS) en 1963 et une figure du Hirak en 2019-2020. La télévision nationale affirme qu'il a usurpé le titre de moudjahid et l'identité de son frère, ce que Youcef Khatib et la presse démentent[16]. Figure du Hirak, il est arrêté le 30 juin 2019 puis libéré le 2 janvier 2020, son procès est fixé au 12 mars 2020. Lakhdar Bouregaa meurt le 4 novembre 2020 à l'hôpital de la Sûreté nationale les Glycines à El Biar, des suites de la Covid-19[28],[29]. Durant la guerre d'Algérie, en 1956, il rejoint l'armée de libération nationale (ALN) après avoir déserté l'armée française. C’est toujours un plaisir de discuter avec Lakhdar Bouregaâ et pas seulement pour son humour sarcastique ou ses succulentes anecdotes. D'après lui, il est trahi par le commandant Azzedine[8]. Le 26 juin, il participe à la réunion de signature du « pacte pour l'alternative démocratique » au siège du RCD[12]. Le 22 octobre, il refuse de répondre au juge d'instruction, dénonçant les chefs d'inculpation et estimant que le gouvernement est illégitime[21]. Il est l'adjoint de Youcef Khatib, chef de la wilaya IV, jusqu'à la fin de la guerre, qu'il termine avec le grade de commandant[4]. Il est un officier de l'armée de libération nationale (ALN) de l'intérieur de 1956 à l'indépendance. D'après lui, il est trahi par le commandant Azzedine[8]. Lakhdar Bouregaa (en arabe : لخضر بورقعة (Bouregâa)), né le 15 mars 1933 à El Omaria et mort le 4 novembre 2020 à El Biar, est un militant indépendantiste et homme politique algérien. La télévision nationale affirme qu'il a usurpé le titre de moudjahid et l'identité de son frère, ce que Youcef Khatib et la presse démentent[16]. S’inscrire. Lakhdar Brahimi (arabe : لخضر براهيمي), né le 1er janvier 1934 à El Azizia, près de Tablat en Algérie, est un diplomate et homme politique algérien. Droit d'auteur : les textes des articles sont disponibles sous. Favoris. Conseil économique social et environnemental Recommended for you 1:13:53 Lakhdar Bouregaa est sur Facebook. "L'ORIGINE DE LA VIE" - Hubert REEVES, conférence exceptionnelle - Duration: 1:13:53. Lakhdar Bouregaa naît le 15 mars 1933 à El Omaria en Algérie, alors départements français. La fille du Moujahid a lancé un véritable cri d’alarme aux algériens pour aider sa famille à libérer Il rejette ensuite toute démarche visant à le libérer, tant que les manifestants ne l'auront pas été[20]. Toujours humble et affable ! Hospitalisé depuis plus de dix jours avec son épouse à la clinique Les Glycines à Alger après leur infection au (covid-19), le … Il est condamné le 11 mai à une amende de 100 000 dinars pour « atteinte à corps constitués »[27]. Pour communiquer avec Lakhdar, inscrivez-vous sur Facebook dès maintenant. Lakhdar Bouregaa est sur Facebook. C’est toujours un plaisir de discuter avec Lakhdar Bouregaâ et pas seulement pour son humour sarcastique ou ses succulentes anecdotes. Il fait son service militaire à Mostaganem, puis à Briançon en France métropolitaine chez les chasseurs alpins[1], avant d'être envoyé à Safi au Maroc d'où il s'évade en mars 1956 avec un groupe d'appelés pour rejoindre le FLN[2]. En juillet 1969, il est condamné par la Cour révolutionnaire présidée par Mohamed Abdelghani à 10 ans de prison pour avoir participé à un complot visant à assassiner Houari Boumédiène, et à 20 ans de prison pour avoir participé à la tentative de coup d'État de Tahar Zbiri, en décembre 1967. Par Massin Amrouni; jeudi 31 octobre 2019 à 23:48; Suivez-nous sur Google News pour ne rien rater. Lakhdar Bouregaa (en arabe : لخضر بورقعة (Bouregâa)), né le 15 mars 1933 à El Omaria, est un militant indépendantiste et homme politique algérien. Droit d'auteur : les textes des articles sont disponibles sous. Il a été présenté aujourd’hui devant le procureur du tribunal de Bir Mourad Raïs qui a ordonné sa mise sous mandat de dépôt. #Lakhdar_Bouregaa LIBRE. Ville actuelle et d’origine. L’Algérie n’aura enfanté qu’un seul Lakhdar Bouregaâ, comme elle n’a enfanté qu’un seul Abane, un Ben M’hidi, un Didouche, un Amirouche, un Krim, une Hassiba Ben Bouali. Il est député FLN de Médéa à l'Assemblée nationale constituante algérienne en septembre 1962. Les chefs des wilayas, dont Lakhdar Bouregaa, cherchent à reprendre l'avantage[5]. Le Commandant Lakhdar, son nom de guerre, a été au cœur de la lutte de Libération nationale dès 1956 à la wilaya IV. Auteurs de l'article « Lakhdar Bouregaa » : « Lakhdar Bouregaâ raconte la torture dans les geôles de Boumediene », dzvidéo, 30 juin 2019. Le 7 octobre, il envisage d'entamer une grève de la faim, mais il en est dissuadé au vu de son âge et de son état de santé, par ses avocats, son entourage et des citoyens[19]. Lakhdar Bouregaa naît le 15 mars 1933 à El Omaria en Algérie, alors départements français. Le scrutin est libre et honnête, le premier du genre, et accouche naturellement d’un vote massif en faveur de l’indépendance. Lakhdar Brahimi (Algerian pronunciation: [læxdˤɑr bræhiːmi]; Arabic: الأخضر الإبراهيمي ‎; al-Akhḍar al-Ibrāhīmi; born 1 January 1934) is an Algerian United Nations diplomat who served as the United Nations and Arab League Special Envoy to Syria until 14 May 2014. Watch Queue Queue Lakhdar Bouregaâ, ex-commandant de la Wilaya IV historique, renvoie dos à dos Amar Saïdani et Abdelaziz Belkhadem. En juillet 1969, il est condamné par la Cour révolutionnaire présidée par Mohamed Abdelghani à 10 ans de prison pour avoir participé à un complot visant à assassiner Houari Boumédiène, et à 20 ans de prison pour avoir participé à la tentative de coup d'État de Tahar Zbiri, en décembre 1967. Il devient chef de la zone II de la wilaya IV entre 1959 et 1960[3]. Il fait partie des militants dont la libération est posée par le hirak comme préalable pour des discussions avec le pouvoir[17],[18]. Avec Mohand Oulhadj, Lakhdar Bouregaa sert d'intermédiaire entre Krim Belkacem et Hocine Aït Ahmed, ce dernier créant en septembre 1963 le Front des forces socialistes, défiant le pouvoir, le FLN ayant été déclaré parti unique. Lakhdar Bouregaa (en arabe : لخضر بورقعة (Bouregâa)), né le 15 mars 1933 à El Omaria et mort le 4 novembre 2020 à El Biar, est un militant indépendantiste et homme politique algérien. Où les généraux algériens ont-ils caché Bouteflika? Parmi ces personnalités, nous […] Au procès où il comparait libre, le 12 mars 2020, le procureur demande sa condamnation à 1 an de prison ferme[26]. Durant la guerre d'Algérie, en 1956, il rejoint l'armée de libération nationale (ALN) après avoir déserté l'armée française. Lakhdar Bouregâa est arrêté et incarcéré. Lakhdar Bouregaa naît le 15 mars 1933 à El Omaria en Algérie, alors départements français. La Vidéo à l’origine de l’arrestation de Lakhdar BOUREGAA… Lakhdar Bouregaa, commandant de la 4eme wilaya historique, arrêté le 29 juin 2019! Lakhdar Bouregaa passe sept ans en prison[9] : il est libéré en 1975[10]. Lakhdar Bouregaâ a fait partie de l'OS. Algérie – La libération du Moudjahid Lakhdar Bouregaa est au centre de la lettre adressée ce mercredi 13 novembre, par l’organisation nationale des moudjahidine (ONM) au … Lakhdar Bouregaâ a été arrêté samedi, chez lui, par des agents des services de sécurité en civil et conduit dans un endroit inconnu. Lakhdar Bouregaa naît le 15 mars 1933 à El Omaria en Algérie, alors départements français. Lakhdar Bouregaa (en arabe : لخضر بورقعة (Bouregâa)), né le 15 mars 1933 à El Omaria et mort le 4 novembre 2020 à El Biar, est un militant indépendantiste et homme politique algérien. Il devient chef de la zone II de la wilaya IV entre 1959 et 1960[3]. Plusieurs personnalités politiques et historiques ont été contactées par la Présidence de la République pour les associer au projet de la Conférence nationale inclusive et indépendante qui sera mise en place pour conduire la période de transition à la suite de l’abandon officiel du 5e mandat, a-t-on appris de sources sûres. En 2019, durant le hirak, il fait partie des membres qui soutiennent la volte-face de l'Organisation nationale des moudjahidine (ONM) contre Abdelaziz Bouteflika[11], ce qui contribue à précipiter la démission du président. Bekhti Ould Abdallah, « Je connaissais l’aptitude à la trahison du commandant Azzedine », Kamel Lakhdar-Chaouche, « Lakhdar Bouregaâ: Le fidèle compagnon de lutte de Ait Ahmed », Lexpressiondz.com, 2 janvier 2019, « L'histoire du Moudjahid Lakhdar Bouregaa - Algérie360.com », sur, « « Libérez Bouregaâ », tonnent les manifestants à Alger », dzvidéo, 23 août 2019. Facebook offre à … Sa vie, son parcours militant font de lui un symbole de l’engagement, de la résistance et, surtout, de la lutte pour un idéal défendu par tous ses semblables : libérer le pays et instaurer une véritable démocratie en Algérie. Lakhdar Bouregaa, a highly respected veteran of Algeria's war of independence against France and a key figure in an anti-regime protest movement, has died at the age of 87. Lakhdar Bouregaa meurt le 4 novembre 2020 à l'hôpital de la Sûreté nationale les Glycines à El Biar, des suites de la Covid-19[28],[29]. L’ancien moudjahid et commandant de la wilaya iv historique Lakhdar Bouregaâ a rendu l’âme mercredi soir à l’âge de 87 ans des suites du coronavirus. Où les généraux algériens ont-ils caché Bouteflika? Il s'oppose au clan d'Oujda depuis la crise de l'été 1962 : il est l'un des membres fondateurs du Front des forces socialistes (FFS) en 1963 et une figure du Hirak en 2019-2020. Dans un entretien accordé à la chaîne de télévision Ennahar TV, ce chef historique tire à boulets rouges sur ces deux personnages politiques appartenant au «néo-FLN». Le 28 octobre, sa détention est renouvelée pour quatre mois[22]. Il est un officier de l'armée de libération nationale (ALN) de l'intérieur de 1956 à l'indépendance. Il a également été élu membre de l'Assemblée nationale constituante algérienne en septembre 1962. ou. Arrêté le 3 juillet 1967, il affirme avoir été torturé jusqu'au 27 août 1968, lorsqu'il est transféré à la prison de Sid El-Houari, à Oran, avant d'être ramené à Alger le 27 septembre pour de nouveaux interrogatoires, puis d'être retransféré à Oran le 27 octobre[7]. Inscrivez-vous sur Facebook pour communiquer avec Lakhdar Bouregaa et d’autres personnes que vous pouvez connaître. La révolte du FFS est écrasée à son tour début 1964[6], avant le coup d'État de Houari Boumédiène en 1965. Télévision. Arrêté le 3 juillet 1967, il affirme avoir été torturé jusqu'au 27 août 1968, lorsqu'il est transféré à la prison de Sid El-Houari, à Oran, avant d'être ramené à Alger le 27 septembre pour de nouveaux interrogatoires, puis d'être retransféré à Oran le 27 octobre[7]. https://babzman.com/lakhdar-bouregaa-lhomme-qui-naimait-pas-lete Le 5 novembre 2019, il est transporté à l'hôpital Mustapha Pacha où il subit une intervention chirurgicale pour une occlusion intestinale[23]. Membre du Front de libération nationale (Algérie), Personnalité du Front des forces socialistes, Mort de la maladie à coronavirus 2019 en Algérie. This video is unavailable. Avec Mohand Oulhadj, Lakhdar Bouregaa sert d'intermédiaire entre Krim Belkacem et Hocine Aït Ahmed, ce dernier créant en septembre 1963 le Front des forces socialistes, défiant le pouvoir, le FLN ayant été déclaré parti unique. Des centaines d'Algériens se sont retrouvés malgré les restrictions imposées par le coronavirus pour rendre un dernier hommage à cet opposant du régime. Pendant que plusieurs associations des droits de l’homme expriment leur profond dégoût, la fondation Bigeard, du nom du fameux général français et chasseur des moudjahidines durant la guerre d’Algérie, a annoncé son entière satisfaction d’apprendre que Lakhdar Bourregaa a été “mis hors d’état de nuire”. Autres. Suite à des déclarations au sujet du général Ahmed Gaïd Salah, nouvel homme fort du régime, qu'il accuse notamment d'avoir déjà choisi le futur président de la République[13], ainsi qu'au sujet de l'armée des frontières, il est arrêté le 30 juin après une plainte du ministère de la Défense[14] et poursuivi pour « outrage à corps constitué et atteinte au moral de l’armée »[15]. Lakhdar Bouregaâ est décédé à cause du coronavirus le mercredi 4 novembre 2020. À propos de Lakhdar Bouregaa. Durant la crise de l'été 1962, le GPRA et les militants de l'intérieur sont vaincus par l'armée des frontières et le clan d'Oujda, menés par Houari Boumédiène, qui s'est allié avec Ahmed Ben Bella. Le 22 octobre, il refuse de répondre au juge d'instruction, dénonçant les chefs d'inculpation et estimant que le gouvernement est illégitime[21]. Le 5 novembre 2019, il est transporté à l'hôpital Mustapha Pacha où il subit une intervention chirurgicale pour une occlusion intestinale[23]. Connexion. Il fait son service militaire à Mostaganem , puis à Briançon en France métropolitaine chez les chasseurs alpins [ 1 ] , avant d'être envoyé à Safi au Maroc d'où il s'évade en mars 1956 avec un … « Depuis le 4eme mandat, ce Gaid Salah est le commissaire politique de Bouteflika. Il est député FLN de Médéa à l'Assemblée nationale constituante algérienne en septembre 1962. Il est condamné le 11 mai à une amende de 100 000 dinars pour « atteinte à corps constitués »[27]. Auteurs de l'article « Lakhdar Bouregaa » : « Lakhdar Bouregaâ raconte la torture dans les geôles de Boumediene », dzvidéo, 30 juin 2019. Il s’agit du plus vieux parti d’opposition en Algérie. Mais avant de rejoindre l'ALN en 1956, il est appelé sous les drapeaux et fait son service militaire au centre d'instruction de Mostaghanem, puis est affecté à Briançon en France où il devient chasseur alpin (soit un soldat d'élite) et enfin à Safi au Maroc. Il est un officier de l'armée de libération nationale (ALN) de l'intérieur de 1956 à l'indépendance. Lakhdar Bouragaa. Lakhdar Bouregâa : « Le pouvoir a un plan et le nom du futur président » 27 Juin 2019 à 10:10 Le Moudjahid et militant politique Lakhdar Bouregaâ a annoncé, ce jeudi 27 juin dans une déclaration à TSA Arabi, qu’il « ne participera pas à la conférence de l’opposition prévue pour le 6 juillet ». Dimanche 1 juillet 1962, référendum d’autodétermination. La révolte du FFS est écrasée à son tour début 1964[6], avant le coup d'État de Houari Boumédiène en 1965.

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